• Nénuphars à gogo

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  • La facon la plus simple de profiter des plaisirs de la nuits.

    Bercé par le chant des cigales et de quelques oiseaux, je n'éprouve même pas le besoin de mettre la musique.

    J'entend bien profiter au maximum, aussi souvent que possible, de ce moment de répit si rare de nos jours. La nuit est tellement propice à la réflexion.

    Parfois le soir, quand tout s'endort, j'ai la curieuse impression que l'air devient peu à peu plus pur, plus respirable.
    J'ai l'impression que l'esprit est de moins en moins embrouillé, parasité, comme si le tintamare de la propagation des ondes cérébrales de mes congénères s'atténuait progressivement et que les esprits encores éveillés pouvaient alors bénéficier d'une bien meilleur qualité ou pureté de fonctionnement...

    Un coup d'oeil vers les étoiles et me voila rassuré, elles sont bien en places et nous, nous sommes toujours aussi petits et insignifiants.
    Quelle maladie ou quelle folie frappe parfois l'esprit des hommes pour semer autour d'eux autant de malheur en si peu de temps et surtout pour si peu de choses en vérité ? un peu d'humilité je vous en conjure...


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  • Pas pres de trouver un concurent à sa hauteur le zozio supersonique.

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  • Wharf, je tombe en arret.

    Alors elle existe en vrais ? ben oui, je l'ai rencontré. C'est presk bliblique ;-))

    Nan, j'déconne mais en tout cas j'ai tout pilé quand je l'ai vue. Elle est achment zouli.

    Je craque un pti peu beaucoup sur ce coup la.

    J'ai pas encore regardé les résultats de l'euro million de vendredi alors je me réserve le droit de penser que tout est encore possible.

    Bon sang que c'est cool d'avoir des rêves, pleins de rêves, d'avoir des envies, pleins d'envies, de courrir après le bonheur, plein de bonheur, tout plein...


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  • Il était une fois, trois petits galets posés là, sur les bords de la garonne.

    Trois tous petits galets bien ronds, ballotés dans ces flots immenses

    Une petite main se penche et, ce jour là, les choisit entre mille.

    La petite fille, à qui appartient la main, glisse les trois galets dans sa petite poche

    Elle poursuit sa promenade ainsi chargée. Pour rien au monde elle ne s'en séparerait.

    Pourquoi, comment, va comprendre ce qui se passe dans sa tête à ce moment precis ?

    De retour à la maison les trois galets prennent une toute autre dimension,

    Il ne sont déja plus si petit que ca, et puis il s'est passé quelque chose de spécial

    Comme s'ils faisaient déja parti de notre espace, de notre quotidien.

    Alors elle les tourne et les retourne, les empile, les juxtapose et soudain,

    Soudain elle s'arrete, elle a trouvée l'équilibre

    l'équilibre qui la relie, elle, en cet instant précis, à ces trois éléments la.

    La pointe de colle paternelle permit de sceller cela durablement

    en faisant bien attention de replacer les trois éléments à l'identique. 


    Je connais personnellement quelques autres galets qui aimeraient bien être assemblé de la sorte pour l'éternité...


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